L’édito du TC par de René Granmont. Ensemble !

On change de Premier ministre presque chaque matin, mais le projet de budget reste absolument le même entre austérité et militarisme. C’est que, pour maintenir au plus haut les profits, le grand capital a besoin de détruire tous les conquis sociaux et démocratiques, de laminer le droit, de mettre le feu à l’État social. Et tous les moyens sont bons pour y parvenir, y compris de laisser pousser les graines du fascisme sur le terrain d’un régime institutionnel en décomposition.

De plateau en plateau, la cohorte des éditorialistes et des économistes vient débiter les mêmes mots, dette, ordre, submersion migratoire, réduction des dépenses, rejet de l’assistanat, lourdeur des charges et des normes, économie de guerre… pour que l’ouvrier, le petit paysan, l’artisan, le retraité acceptent sans broncher d’être encore plus sacrifiés au profit des grandes fortunes et des milieux d’affaires. Tout est fait pour brouiller les pistes, empêcher de comprendre, décourager, détourner les regards du fait essentiel : il n’y a pas de majorité dans le pays pour des politiques de soutien au capitalisme. Alors la même cohorte vient clamer que le pays est trop fragmenté pour être gérable…

Pourtant, il n’y a pas trente-six blocs politiques, il n’y en a que deux ! L’un est la gauche, les progressistes et les écologistes dans leur diversité qui, non sans difficultés certes, se sont mis d’accord sur un programme minimal : celui du Nouveau Front populaire. L’autre est la droite qui, de plus en plus, fait mouvement vers l’extrême droite qui, elle-même, fait mouvement vers la droite. Ensemble elles combattent de toutes leurs forces tout ce qui, de près ou de loin, remet en cause les intérêts du capital et des grosses fortunes. Ensemble elles prônent un « ordre nouveau » contre les acquis sociaux et démocratiques. Ensemble, elles sont prêtes à tout, même au pire, pour maintenir la domination sans partage de la haute bourgeoisie.

Or, on voit combien les seuls cadres institutionnels ne suffisent pas à ouvrir une issue pour les intérêts des salariés et de l’ensemble des travailleurs. Il y a donc nécessité que toutes les forces qui agissent pour la transformation sociale et écologique s’attellent à la construction d’une solide unité populaire. Tâche difficile certes. Mais la situation est devenue si dangereuse qu’aucun effort ne doit être négligé pour une union de qualité nouvelle comme avaient commencé à le faire les parties prenantes du Nouveau Front populaire.

À lire dans Le Travailleur Catalan (n° 4088 – vendredi 24 octobre 2025)

L’édito de René Granmont. Ensemble !
Souscription exceptionnelle

Focus. Mémoire

Dix ans pour se souvenir et agir

L’événement. Retraite/budget

Mensonge par omission
Un signe tangible !
Lecornu pire que Bayrou
Coup de gueule. Pourquoi avoir sauvé le soldat Lecornu ?

Département

Secours populaire. L’immense pauvreté dans le département
UPTC. L’Europe en crise existentielle
En Català. Les cinc arques. Capitol 2 (2)
Souvenir du massacre du 17 octobre 1961
Municipales 2026. La gauche peut se renforcer à Canet-en-Roussillon
Le P.O.T Rando’ Club. Dimanche 26 octobre 2025 Montbolo

Sport

TOP 14. Le mal est profond

Culture

Elne. Beau concert du grand orchestre d’harmonie de Rivesaltes en la cathédrale d’Elne
Baixas. Diwali, 14e édition
Archipel. Quatre filles en colère
Où sortir ?
Cinéma. Berlinguer. La grande ambition
La petite dernière de Hafsia Herzi (2025)
Paroles révoltées. « Ah ! Ça ira, ça ira ! »
Du théâtre à la médiathèque. Liberté chérie !

Monde

Madagascar. L’armée prend le pouvoir après la chute d’Andry Rajoelina
Vénézuela. Trump agite le gros bâton

L’humeur de Jean-Marie Philibert

Des moments « épatants »

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Prades. 150 manifestants solidaires du peuple palestinien (L’Indep)

« Il doit finir le temps des colonies », « Visca, visca Palestina », « Nous sommes tous des enfants de Gaza ». Les slogans ne laissaient aucun doute quant au but de ce rassemblement. « Cette manifestation avait d’abord pour objectif d’exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien qui vient d’être soumis à un génocide selon la Commission d’enquête internationale indépendante de l’ONU », expliquent les organisateurs que sont les Jeunesses populaires du Conflent et alentours, l’Atelier de l’entonnoir et le Collectif solidarité Palestine Conflent.

Danses et poèmes

Après cette manifestation, les participants ont pu occuper la place de la République en dansant sur des chansons traditionnelles palestiniennes. Enfin, une centaine de personnes a pu se rendre dans l’Atelier de l’entonnoir pour une écoute collective de poèmes palestiniens lus par le collectif La clé et pour un repas collectif à prix solidaire (5 euros) et aux saveurs palestiniennes. Les bénéfices de la soirée iront à l’association éducation 4 Gaza.

L’Indépendant, le 22 octobre 2025

Cabestany. Coopération franco-allemande dans le cadre du triangle de Weimar (L’Indep)

Quatre jours d’échanges fructueux entre élus français et allemands autour de la jeunesse, de l’Europe et de l’avenir commun.

La ville a accueilli une délégation du district allemand de Dahme-Spreewald dans le cadre du triangle de Weimar, partenariat né en 1991, deux ans après la chute du mur de Berlin, un an après la réunification allemande et l’année de la dissolution de l’URSS, pour renforcer la coopération entre la France, l’Allemagne et la Pologne. Si les représentants polonais du district de Wolsztyn n’ont pu se déplacer, les élus allemands ont été chaleureusement reçus par la maire Edith Pugnet et les acteurs locaux, dans un esprit de dialogue européen et d’amitié entre les peuples.

Un engagement commun

Organisé avec le soutien des animateurs Frédéric et Alex de l’espace jeunesse Guy-Môquet, le séjour a mêlé rencontres institutionnelles et découvertes locales. Les élus allemands ont notamment pu découvrir les infrastructures sociales et sportives de la commune, des établissements scolaires et des sites emblématiques du département, dont Collioure.

« Je suis positivement surpris de voir dans quelle mesure Cabestany a investi dans ses infrastructures sociales et sportives », a confié l’un des membres de la délégation. « Le stade et les échanges d’animations entre les établissements scolaires et les services de la ville témoignent d’une vraie priorité donnée à la jeunesse. Ce modèle pourrait nous inspirer ». Au fil des échanges, les discussions ont porté sur l’avenir des jeunes européens, les défis environnementaux et la nécessité de maintenir un dialogue constant entre les sociétés. « Le triangle de Weimar, c’est la colonne vertébrale d’une Europe unie, une Europe des hommes », a poursuivi le délégué allemand. « Ce sont les jeunes qui forgeront l’avenir : Il faut qu’ils se connaissent, qu’ils s’écoutent et s’enrichissent mutuellement ».

Ces réflexions, partagées avec leurs homologues français, ont nourri des propositions concrètes pour de futurs séjours trilatéraux entre jeunes Français, Allemands et Polonais. Tous ont souligné l’importance de multiplier ces rencontres dans un contexte européen marqué par les tensions internationales et la montée des nationalismes.

Entre découvertes locales et dé bats sur l’avenir de l’Europe, cette visite allemande s’inscrit dans la continuité d’un engagement commun pour une Europe ouverte, solidaire et tournée vers sa jeunesse.

Le triangle de Weimar, plus que jamais, demeure un espace vivant de coopération et d’espérance partagée.

Patricia Vedrenne (L’Indépendant, le 22 octobre 2025)

Nicolas Sansu. « Les macronistes veulent aller jusqu’aux ordonnances » (La Marseillaise)

Nicolas Sansu, député communiste et secrétaire de la commission des Finances, dénonce une « alliance » entre « la droite et l’extrême droite », à l’occasion de l’examen du budget. Entretien.

La Marseillaise : Comment se passe jusqu’à présent l’examen du projet de loi de finances (PLF) en commission ?

Nicolas Sansu : On voit une petite alliance droite-extrême droite, ça donne le la sur ce que sera ce budget dégueulasse. Ils vont tout faire pour qu’il n’y ait aucune nouvelle recette qui taxe les plus riches. Les amendements sur la taxe Zucman, sur l’héritage et sur le pacte Dutreil vont être ratatinés. Ça va être très compliqué, le rapport des forces n’est pas bon. À partir du moment où l’extrême droite fait le lit de la Macronie sur toute la partie recette, c’est fini. L’amendement qui prévoit l’indexation de l’impôt sur le revenu sur toutes les tranches a été refusé, c’est incroyable. C’est-à-dire qu’accepter l’indexation sur la première tranche seulement, c’est mettre des gens dits « de la classe moyenne », dans la difficulté. Certains vont basculer dans une autre tranche.

La Marseillaise : C’est l’imposture sociale du RN qui est dévoilée au grand jour ?

Nicolas Sansu : Aujourd’hui, le RN c’est la béquille de la Macronie. Ils prennent très peu la parole. Ce qui est extraordinaire, c’est qu’ils ne votent pas des recettes supplémentaires, mais veulent des dépenses supplémentaires. Ce qu’ils font n’a aucun sens.

La Marseillaise : Le « socle commun » – le camp présidentiel et LR – a déposé à lui seul plus de 750 amendements. Dans quel but ?

Nicolas Sansu : L’objectif est d’aller jusqu’aux ordonnances. Ils se gardent cette possibilité sous le coude. Ils ont déposé beaucoup d’amendements en commission, mais ça ne suffira pas à empêcher le débat. Il ira au bout. S’ils veulent faire durer le débat en séance, ils le feront. Ça peut être un choix, ce serait inédit, mais c’est une possibilité.

La Marseillaise : Qu’attendez-vous du débat qui débute vendredi dans l’hémicycle ? On imagine que la question de la taxe Zucman prendra une grande place dans les discussions ?

Nicolas Sansu : L’avantage, c’est que ce débat sera davantage mis en avant dans le public. Pour nous, l’objectif sera de démontrer que certains ne veulent pas de la taxe sur 1 800 foyers qui ont plus de 100 millions d’euros de patrimoine. Les gens se feront assez rapidement leur avis là-dessus.

La Marseillaise : Hasard du calendrier ou pas, ce budget, austéritaire et antisocial, a été présenté la semaine dernière, alors que la fortune de Bernard Arnault a bondi de 16 milliards d’euros en une seule journée…

Nicolas Sansu : Il a gagné 19 milliards de dollars en un jour. Sa richesse a augmenté parce que l’action de LVMH a augmenté. Le problème, c’est qu’il y a tellement de moyens pour transformer les actions en revenus dans des holdings familiales sans jamais qu’ils payent d’impôts. Il transmet ça à ses enfants sans jamais rien payer. C’est insupportable.

La Marseillaise : Après l’examen du PLF, place au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) qui prévoit, entre autres, la suspension de la réforme des retraites. Comment abordez-vous cette bataille ?

N.S. : Le PLFSS, c’est une boucherie ! Les apprentis qui sont assujettis à la CSG, auxquels on va piquer 45 euros par mois sur leurs salaires, c’est dégueulasse !

Pour la suspension de la réforme des retraites, on demande au gouvernement de faire une lettre rectificative. Le risque, si le budget passe par ordonnance, c’est que le texte initial soit repris. Si la suspension de la réforme des retraites n’est pas dedans, c’est fini. Le gouvernement aurait dû s’affranchir de ça en faisant un projet de loi ad hoc. C’était réglé, il avait le droit. Mais le voulait-il ? C’est une autre question.

Entretien réalisé par Laureen Piddiu (La Marseillaise, le 21 octobre 2025)

Maury. Lola Beuze, candidature à l’élection municipale (L’Indep)

Lola Beuze, conseillère départementale communiste et conseillère municipale, se présente aux élections municipales de mars, « entourée d’une équipe présente et déterminée, pour qu’à Maury l’avenir soit synonyme de progrès. Tout en protégeant les racines rurales de notre commune du Fenouillèdes, nous souhaitons que Maury soit un village vivant, solidaire et accueillant. »

La défense des terres et activités viticoles et agricoles sera la priorité de la liste « À Mauy, un mouvement qui fait envie » ; une défense tant humaine qu’économique. « Maintenir une bonne qualité de vie à nos ainés en favorisant les services de proximité, l’installation de professionnels du soin et le lien social sera notre engagement. Nous nous engageons aussi au côté des familles et des enfants, afin que notre village vive et prospère, grâce à son dynamisme, ses moments festifs, ses activités scolaires, sportives et culturelles. »

Pour cela, Lola Beuze soutiendra l’école, ses structures et les associations déjà présentes sur le terrain, « pour qu’elles puissent poursuivre leur travail vital pour notre tissu social. Nous souhaitons prendre les décisions en toute transparence, en consultant les citoyennes et citoyens, grâce à des présentations et consultations sur les projets qui engagent l’avenir de la commune et de ses habitants. Pour continuer à construire un territoire solidement ancré dans son terroir si précieux et tourné vers les défis naturels, économiques et démographiques de notre avenir, nous avons besoin de vous ! »

De conclure ainsi : « Rejoignez. le mouvement et soyez les acteurs d’un Maury progressiste, réaliste, ambitieux et humain. »

L’Indépendant, le 21 octobre 2025

Le maire actuel Charles Chivilo ne se représentera pas.

Des syndicalistes à nouveau menacés de sanctions à La Poste (L’Indep)

Hier, la direction de La Poste a une nouvelle fois convoqué des responsables syndicaux dans le cadre de procédures disciplinaires. Une cinquantaine de militants se sont réunis pour les soutenir.

Depuis le mouvement contre la réforme des retraites, les sanctions à l’encontre de postiers syndicalistes se succèdent dans les Pyrénées-Orientales. Des mises à pied de plusieurs mois (jusqu’à 18 mois pour le secrétaire général de la CGT activités postales du pays catalan, Alexandre Pignon), une procédure de licenciement lancée à l’encontre du secrétaire départemental adjoint de Sud Poste, Samuel Toutain… : le torchon brûle plus que jamais entre la direction et les organisations de salariés. Ce lundi, deux élus du personnel siégeant au comité social et économique (CSE) régional de La Poste, étaient convoqués en entretien disciplinaire. Dont notamment, une nouvelle fois, Alexandre Pignon.

« Moi, c’était pour une histoire de chaussures de sécurité non mises, alors que je me rendais à une commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT) dans un site de la région que je ne connaissais pas », détaille le secrétaire général de la CGT activités postales des Pyrénées-Orientales. « Il n’y avait personne à l’accueil pour me doter de telles chaussures D’ailleurs, on était en dehors des horaires de manutention… Il n’y avait aucun danger. Il s’agit d’un motif fallacieux. »

La secrétaire départementale de la CGT activités postales en charge de la communication, Ruth Ceballos, était également convoquée pour le même motif ce lundi. La direction lui reprocherait également d’avoir employé le mot « collabo » lors de la négociation d’un préavis de grève. Précision utile : ces convocations interviennent dans un climat social vraisemblablement tendu. Depuis début août, la CGT indique avoir notamment déposé deux alertes pour danger grave et imminent sur le site de la plateforme de Torremila.

Arnaud Andreu (L’Indépendant, le 21 octobre 2025)

Sollicitée, la direction régionale de La Poste indique qu’elle ne fait pas de commentaires sur les procédures en cours

La lettre d’information du groupe CRCE.K au Sénat (n° du 20 octobre 2025)

Édito. À 18 voix près
À 18 voix près, le gouvernement de Lecornu a donc été sauvé. Il reste maintenant à sauver les Français des budgets de la Sécu et de l’État qui vont faire mal, très mal.
Doublement des franchises médicales, gel des pensions et des minima sociaux, gel du barème de l’impôt sur le revenu (18 (…)
—> Lire l’intervention

Tournons la page du macronisme. Réponse de C. Cukierman au discours de politique générale à S. Lecornu
Monsieur le Premier ministre, enfin nous voici réunis pour débattre. Votre déclaration de politique générale était annoncée pour la semaine dernière, mais comme vous aviez remis votre démission pour ne pas rester Premier ministre, vous y aviez renoncé. Mais finalement, vous êtes redevenu Premier (…)
—> Lire l’intervention

Nouvelle-Calédonie : Reporter les élections, c’est maintenir l’incertitude et la tension sur le terrain. Report des élections des membres du Congrès et des assemblées de province de la Nouvelle-Calédonie par Robert Xowie
« Je vous demande d’apporter à nos compatriotes de Nouvelle-Calédonie la garantie de la France pour un avenir pacifique, une économie plus forte et une société plus juste. » J’emprunte à François Mitterrand ces mots aussi vrais aujourd’hui qu’en 1988.
Aujourd’hui, c’est à vous qu’il revient (…)
—> Lire l’intervention

Cancer du sein : une loi votée, à quand les décrets ? La relance de Cathy Apourceau-Poly
La loi du 5 février dernier visant à améliorer la prise en charge des soins et dispositifs spécifiques au traitement du cancer du sein, dont j’étais rapporteure, a été votée à l’unanimité dans les deux chambres. C’est une avancée majeure vers une égalité relative des milliers de femmes et des (…)
—> Lire l’intervention

Loin des manœuvres, proche des préoccupations populaires. Communiqué de presse
Sébastien Lecornu, au-delà des manœuvres, veut poursuivre la politique libérale d’Emmanuel Macron
Les sénatrices et les sénateurs du groupe CRCE-K s’opposent frontalement au programme gouvernemental présenté par le Premier ministre, Sébastien Lecornu. Ils rappellent, avant toute chose, le (…)
—> Lire

Tout sur la commission d’enquête sur les 211 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises
Numéro spécial d’Initiatives
—> Lire

TVA à 5,5 sur l’énergie, on signe ! Une proposition de loi pour baisser le coût de l’énergie
Pour une juste fiscalité de l’électricité et du gaz, on soutient la proposition de loi des
sénateurs et sénatrices du groupe CRCE-K pour un taux réduit de TVA sur l’énergie en signant.

Liste de revues permettant d’alimenter l’action et la réflexion

Économie & Politique

500 milliards pour sortir de l’austérité : que financer en priorité (investissements matériels ou emploi et formation) ? Quels moyens pour résister au chantage à la dette ? La seule fiscalité (taxe Zucman) ou des avances apportées par un pôle financier public ? Le dossier d’Économie & Politique présente le détail chiffré des propositions communistes pour le développement des services publics dès le budget 2026.

—> Accéder au numéro d’Économie & Politique.

La Pensée

Face aux faux arguments de Macron dans la Convention citoyenne sur les rythmes scolaires et les temps de l’enfant, voici un contre-argumentaire : à partir de recherches parues dans la revue La Pensée et dans l’ancienne revue du PCF L’École et la nation, publié par la Fondation G. Péri. Un entretien dédié sur la plateforme scientifique Cairn : accès gratuit jusqu’au 7 novembre.

—> Accéder à l’entretien de La Pensée.

Recherches Internationales

Les grands réseaux mondiaux d’échange sont au cœur de la rivalité sino-américaine. Energie, finance, internet, 5G, aucune des infrastructures internationales n’échappe désormais aux affrontements de puissance. Le dernier numéro de Recherches Internationales analyse l’ensemble des aspects de cette dynamique qui transforme la mondialisation. Disponible ici.

—> Accéder au numéro de Recherches Internationales.

Cahiers de Santé publique et de protection sociale

Après les numéros précédents consacrés à l’alternative à l’austérité et à la guerre commerciale de Trump, voici un dossier « municipales » qui propose un ensemble d’analyses, de diagnostics et de propositions pour mettre en cohérence, dans les communes et leurs regroupements, objectifs sociaux et écologiques, moyens financiers et prise de pouvoir par les citoyen.ne.s, salarié.e.s, agent.e.s des services publics territoriaux.

—> Accéder au numéro des Cahiers de Santé publique et de protection sociale.

Humanité – Hors série

Miroir du cyclisme Après 31 ans de mise en sommeil, la mythique revue revient dans les kiosques ! Dans ce numéro : Thomas Voeckler, l’académie Remco Evenepoel, Juliette Labous et Lucien Aimar, Jeannie Longo et Marc Madiot, Guillaume Martin-Guyonnet et Arthur Hay, secrétaire CGT des coursiers à vélo, Bernard Hinault….

—> Acheter le hors-série de l’Humanité.