À lire dans Le Travailleur Catalan (n° 4085 – vendredi 3 octobre 2025)

  • L’édito de Michel Marc. La petite musique perverse… et réac
  • Annonces
  • Francis Wurtz à l’UPTC le 10 octobre

Focus.

  • Bis repetita !

L’événement. Perpignan municipales 2026

  • Un bilan d’exercice sévère, unanime et argumenté
  • Alors ? Des retombées politiques qui dépasseraient la ville et le cadre local ?
  • La construction commune de ce rassemblement est inédite, pour chacun d’entre vous. Quel est votre sentiment ?
  • Parlons programme ! En quoi les premiers éléments du programme engagent-ils la liste dans le camps de la « gauche », dans le camp « progressiste »
  • Des difficultés à surmonter ? Des obstacles à dépasser…

Département

  • Vendanges amères
  • Valeurs en tête. Pour rassemble et réunir les acteurs associatifs. Une vraie réussite
  • TER Villefranche-Perpignan. Le scandale
  • Ligne TER Céret-Perpignan. Le collectif « Osons le rail » poursuit sa campagne
  • À Escaro, la vie ne s’arrête pas. La solidarité s’est exprimée
  • UPTC. L’économie des Pyrénées-Orientales : Quelle efficacité ?
  • Écologie – Marches des résistances. À Perpignan et ailleurs, manifestation pour peser sur la COP 30
  • Danger de contamination sécuritaire
  • Annonce. 25E Écofestival Vallespir terres vivantes
  • En Català. Les cinc arques. Capitol 1 (5)
  • Le Petiot. Un lieu insolite à découvrir

Sport

  • TOP 14. L’USAP ne tient pas la distance

Culture

  • Spectacle. « L’Archipel nomade » fait escale au Vernet
  • Le Boulou. La petite Escapade
  • « La pièce maitresse » en création à Alénya
  • Où sortir ?

France

  • C’est quand qu’on va où ? Un nouveau gouvernement pour la même politique
  • L’étrange quinquennat de Sarko…

Monde

  • Italie. Quand l’esprit de solidarité ouvre la lumière
  • Gaza. Israël menace la flottille
  • Le député communiste Jean-Paul Lecoq, suivant les agressions de drones israéliens, a envoyé au président de la République cette demande. Nul besoin de commentaires

L’humeur de Jean-Marie Philibert

  • Une méchante justice

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Grève ce jeudi: la bataille contre l’austérité budgétaire se poursuit (L’Indep)

Ce lundi, entre 17 heures et 18 heures, l’intersyndicale des Pyrénées-Orientales a organise une distribution de tracts a destination des automobilistes sur l’avenue d’Espagne à Perpignan. Pour faire circuler leur message et mobiliser les indécis en vue de la journée d’action de ce jeudi 2 octobre.

L’intersyndicale compte bien maintenir la pression sur le Premier ministre. Objectif : obtenir un budget de l’État à même de satisfaire à la fois les « revendications légitimes des travailleurs » et l’équilibre économique. Car, selon eux, concilier les deux est tout à fait possible. À condition d’opter pour la bonne stratégie.

Afin de transmettre ce message et de mobiliser les indécis en vue de la journée d’action prévue ce 2 octobre, les représentants de plusieurs syndicats qui appellent à la mobilisation se sont réunis ce lundi vers 17 heures sur l’avenue d’Espagne, à Perpignan. Histoire de profiter des ralentissements de l’heure de pointe pour distribuer des tracts aux automobilistes.

Selon les responsables des organisations impliquées, que ce soit pour relancer l’économie ou pérenniser le système de retraite, l’augmentation des salaires (qui ferait mécaniquement augmenter le montant des cotisations sociales)| s’impose.

Une journée cruciale

« Il faut arrêter les 211 milliards d’euros d’aides aux entreprises sans contreparties et conditionner ces aides à l’augmentation des salaires », martèle par exemple le secrétaire départemental de FO, Jérôme Capdevielle. « Cela permettrait aussi de remettre du carburant dans l’économie, qui porte à 60 % sur la consommation des ménages. »

« Quand on voit le nombre de salariés au smic en France et dans le département, il y a une grosse marge de progrès », renchérit Christine Mirroir, l’une des voix de Solidaires dans les Pyrénées-Orientales, qui rajoute aux revendications l’obtention d’une « vraie justice fiscale » avec une mise à contribution des plus riches.

Du côté de la fonction publique aussi, le pouvoir d’achat arrive en tête des revendications. « Il y a quelque part un déclassement. Les salaires stagnent », déplore l’une des co-secrétaires de la FSU66, Géraldine Morales. « Les budgets d’austérité ont également pour conséquence directe le manque de moyens dans l’Éducation nationale, qui engendre entre autres des classes surchargées. Les élèves payent aussi les pots cassés. »

« On est tous d’accord sur ce qu’il faut aller chercher », conclut le secrétaire départemental de la CGT, Julien Berthélémy. « La journée du 2 octobre est cruciale. Nous devons faire monter le rapport de force, leur faire comprendre qu’on ne lâchera rien. Nous voulons un changement de politique et d’orientation du budget. »

Ce jeudi, à Perpignan, la manifestation partira à 10h30 de la place de Catalogne pour faire le tour de la ville par les grands boulevards. Toujours à l’appel d’une intersyndicale allant de la CGT à la CFDT. En passant par FO, la FSU, Solidaires, la CFTC, l’Unsa et la CFE-CGC.

Arnaud Andreu (L’Indépendant, le 30 septembre 2025)

Ehpad en détresse : le Département débloque 2,25 millions d’euros (L’Indep)

Lors de la session de ce jeudi 25 septembre, les élus du conseil départemental ont voté en faveur de la création d’un fonds d’urgence de 2,25 millions d’euros à destination des Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) des Pyrénées-Orientales, qui rencontrent des difficultés « inédites ».

Permettre aux Ehpad en détresse de parer aux dépenses urgentes. Tel est l’objectif du fonds dont le conseil départemental a acté la création ce jeudi. « Les établissements rencontrent depuis plusieurs années des difficultés inédites, en lien notamment avec l’inflation », a rappelé la vice-présidente en charge du dossier, Françoise Fiter. « Leurs niveaux de trésorerie sont parfois préoccupants, ce qui peut compromettre les investissements les plus urgents. »

Doté de 2,25 millions d’euros, le fonds doit plus précisément permettre aux Ehpad étranglés financièrement d’acheter du matériel ou d’engager, dans des délais « appropriés », les travaux qui s’imposent.

Pour mémoire, le conseil départemental avait déjà voté en décembre 2023 une enveloppe d’aide à l’investissement pour 2024-2028 de 15 millions d’euros à destination des établissements d’hébergement accueillant des personnes âgées dépendantes ou des adultes handicapés. C’est dans le cadre de ce budget que la collectivité débloque aujourd’hui ce nouveau fonds d’urgence. Autre mesure destinée à aider les Ehpad à passer le cap : les élus départementaux les ont également autorisés à augmenter leurs charges nettes de 1 % en 2025.

Une flotte de voitures pour les aides à domicile

Lors de sa session de ce jeudi, l’assemblée départementale a également voté des mesures en faveur du secteur de laide à domicile qui traverse lui aussi une période de turbulences. « Il y a une très forte augmentation des besoins en termes de maintien à domicile des personnes âgées ou en situation de handicap et le secteur connait des difficultés de recrutement », a résumé Françoise Fiter. Cependant, dans le cadre de la loi Bien vieillir d’avril 2024, l’État a alloué un budget de 800 000 euros au département, notamment pour « soutenir la mobilité des aides à domicile ». En pays catalan, le conseil départemental a choisi de se servir d’une majeure partie de la somme qui lui a été allouée pour accompagner la création d’une flotte de véhicules à très faibles émissions. La délibération adoptée ce jeudi évoque l’achat d’au moins 25 véhicules.

Il faut dire que dans les Pyrénées-Orientales, le maintien à domicile et l’hébergement des personnes âgées sont deux enjeux cruciaux. À l’heure actuelle, le département recense 99 150 habitants âgés de 60 à 74 ans (20,5 % de la population) et 61 083 de plus de 75 ans (12,7 %).

Une proportion qui ne cesse d’augmenter depuis 2009. Et ce n’est qu’un début.
D’ici 2040, le nombre de personnes âgées dépendantes de plus de 75 ans devrait encore croître de 35 %.

Arnaud Andreu (L’Indépendant, le 26 septembre 2025)

À lire dans Le Travailleur Catalan (n° 4084 – vendredi 26 septembre 2025)

L’édito de jacques Pumaréda. Un capitalisme sous perfusion
Annonces
L’actu vue par Delgé

Focus. Culture de Paix

La paix dans le monde
Au féminin ! Soirée féministe à Cabestany
Témoignage. Mon voyage à Hiroshima et Nagasaki

L’événement. Le mouvement social du 18

7 000 dans les rues de Perpignan
Éducation. Bataille de chiffres
Les syndicats appellent à la poursuite de l’action
18 septembre. Réaction des partis de gauche

Département

Perpignan. Mathias Blanc élu tête de liste de « Perpignan Autrement »
Dis moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es !
Perpignan. Solidarité avec les journalistes gazaouis
Appel. Pour l’accueil des journalistes palestiniens de Gaza
En Català. Les cinc arques Capitol 1 (4)
Le P.O.T. Rando’Club. Dimanche 28 septembre, Notre)Dame de Laval
Social. Les gaziers et électriciens en lutte depuis le 2 septembre

Sport

TOP 14. Le feu couve à la maison USAP

Culture

Alénya. Un premier week-end créatif
Où sortir ?
Institut Vigo. Actions à profusion
Perpignan. La dictée du Centro espagnol
Mémorial. Au carrefour de la mémoire et de l’histoire
George Bartoli honoré

France

Coup de gueule. Le Contre-poison idéologique
Brèves nationales
« Nous refusons que les journalistes soient ciblés personnellement »
– La Sécu vache à lait
Témoignage. Ah cette bien belle fête de l »humanité 2025 !

Monde

La France reconnaît enfin la Palestine
Brèves internationales
Chili. Les droits de Daniel Jadu doivent être respectés
Iran. Jafar Panahi aux oscars de la Palme d’or
États-Unis. La chasse aux sorcières

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Ligne TER Perpignan-Villefranche : le début du chantier encore retardé (L’Indep)

Un an après le déraillement qui a endommage le pont d’Eus, la ligne TER
Perpignan-Villefranche est toujours à l’arrêt. Malgré des annonces encourageantes cet été, les travaux de réouverture accusent de nouveaux retards.

Où en est-on ? Aux dernières nouvelles, c’est-a-dire le 24 juillet dernier, les usagers de la ligne SNCF Perpignan-Villefranche soufflaient une triste bougie. Celle du premier anniversaire du déraillement du train qui avait percuté le pont de la commune d’Eus. Depuis, plus aucun TER ne circule sur cet axe. Une fermeture devenue insupportable pour les usagers qui réclament inlassablement la réouverture.

Délais allongés

Fin juillet, deux annonces avaient redonné de l’espoir. D’abord, le maire d’Eus, Jean-Philippe Dorandeu, confirmait la signature d’une convention autorisant la démolition du pont accidenté par SNCF Réseau, étape indispensable avant la réfection de la voie ferrée. En-suite, un comité de pilotage réuni le 31 juillet avait défini un rétroplanning des travaux. Ils devaient commencer la première quinzaine de septembre.

Mais depuis, les délais se sont allongés. Lors du dernier comité de suivi, organisé en fin de semaine dernière, un retard de calendrier a été annoncé. Initialement prévus au 15 septembre, les travaux ne peuvent débuter qu’après une étape préalable incontournable. Car le pont n’acheminait pas seulement des trains, il transporte aussi l’eau potable vers quelques habitations.

Une entreprise doit donc, en premier lieu, installer une nouvelle alimentation en eau en provenance de Los Masos. Un chantier de trois semaines qui ne commencera que le 13 octobre.

18 mois sans train

« Tout semblait bien engagé. Trois semaines de décalage, plus dix autres pour la démolition et la réfection, auxquelles s’ajoute la trêve de Noël. On arrive fin janvier, dans le meilleur des cas », déplore Enric Balaguer, président de l’association Train en Têt.

Fin janvier, cela fera donc 18 mois sans train. « Encore une fois, on ne prend pas la mesure de l’importance de cette ligne. C’est un manque de conscience de l’urgence de la situation. Nous sommes scandalisés. Ailleurs, sur un axe plus stratégique, on n’aurait pas ces reports à répétition », poursuit-il.

Le prochain comité de suivi est prévu pour le 7 novembre prochain. Et Enric Balaguer espère bien qu’aucun nouveau contretemps ne viendra rallonger les délais.

Driss Chaï (L’Indépendant, le 23 septembre 2025)

Une programmation foisonnante pour les 10 ans du Mémorial de Rivesaltes (L’Indep)

Conférence, cinéma, table ronde, concerts… Pour son dixième anniversaire, le Mémorial du camp de Rivesaltes a mis les petits plats dans les grands. Voici quelques-uns des 55 évènements programmés pour cette saison 2025-2026 qui démarre.

« Nous avons voulu une saison riche, intense et foisonnante, ou l’histoire rencontre la création, l’art dialogue avec la science. Et la mémoire se fait parole, musique, geste ou récit. Littérature, théâtre, cinéma, photographie, musique, colloques, rencontres, spectacles jeune publie : autant de formats, autant de façons de faire vibrer les mémoires du camp de Rivesaltes. »

Céline Sala-Pons, la directrice du Mémorial, s’en réjouit. Cette saison 2025-2026, à l’heure où le site franchit le cap symbolique de ses dix ans, pas moins de 55 évènements seront proposés au public. Et ce, malgré la fermeture temporaire due aux travaux de réaménage-ment. En voici 5 temps forts parmi 55 au total.

Jeudi 2 octobre: Accueillir les voix LGBT +

Cette année, le Mémorial s associe une fois encore à l’association LGBT + 66 et au festival « Et alors » pour une soirée dédiée à la lutte contre les discriminations. Ainsi, à 18h30, le film Out of Uganda sera projeté. Un ouvrage abordant la condition des homosexuels en Ouganda ou être gay ou lesbienne est passible de la peine de mort. S’ensuivra une table ronde pour « identifier et combattre les discriminations ». Un moment qui réunira notamment Mathias Ott, délégué interministériel a la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT, Marie-Céline Straub, vice-procureur de Perpignan ou encore Anne-Laure Arino, directrice académique des services de l’Éducation nationale des Pyrénées-Orientales. À partir de 18h30.

Mercredi 3 décembre: Misère du IIIe Reich, hors les murs

Dans le cadre de leur partenariat, la Scène nationale Grand Narbonne et le Mémorial proposent, en territoire audois, une pièce écrite par Bertold Brecht lors de son exil en Scandinavie. Opposée au régime nazi, la dramaturge y raconte la montée du fascisme en Allemagne entre l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933 et la déclaration de guerre en 1938, en montrant comment la peur d’autrui s est infiltrée dans toutes les couches de la société et a très rapidement gangrené les rapports humains. À partir de 20h.

Jeudi 26 mars: Souffles d’ancêtres, voix d’avenir nomades

Entre 1941 et 1942, près de 1 400 Tsiganes furent internés au camp de Rivesaltes. Au cours de cette soirée cinéma, le Mémorial emmènera le public à la rencontre de Pista Helmstetter, figure de la communauté sinté d’Alsace, qui a vécu la destruction des caravanes et les expulsions. « Comme un lien entre hier et aujourd’hui, les mots de Pisla se mêlent aux notes de Rallo, son petit-fils, pour évoquer l’univers du voyage et la singularité d’une population qui refuse d’être invisibilisée. » À partir de 18h30.

Mercredi 8 avril : Journée mondiale du peuple gitan en musique

À l’occasion de cette journée mondiale du peuple gitan, le Mémorial vous propose un concert pédagogique animé par Tato Garcia. Guitariste, chanteur, auteur, compositeur, interprète, Tato est maître dans l’art du fameux « ventilador ». Il est un fervent ambassadeur de la rumba catalane, musique née dans les années 60 dans les quartiers gitans de Barcelone. De 9h à 12h.

Jeudi 21 mai: Le camp Joffre, un carrefour de l’ordre colonial

Entre novembre 1964 et mars 1966, des militaires guinéens et leurs familles transitent par le camp Joffre. Environ 800 personnes en tout, venue d’Afrique pour la plupart. À travers la conférence « Des militaires guinéens et leurs familles à Rivesaltes : naufragés de la décolonisation » animée par Céline Pauthier, il s’agira de comprendre la trajectoire complexe de ces militaires. Et de rendre visible leur présence à Rivesaltes qui reste encore méconnue. À partir de 18h30.

Driss Chaït (L’Indépendant, le 22 septembre 2025)

—> Retrouvez la programmation complète de la saison culturelle et scientifique du Mémorial du camp de Rivesaltes

Le billet d’Yvon Huet. Mémorial de Rivesaltes… Un bijou de résistance culturelle

J’ai été hier, avec la délégation de la LDH66 au Mémorial de Rivesaltes pour la fête de ses 10 ans d’existence. Ce lieu concentre tous les témoignages vivants de l’indésirabilité, d’où qu’elle vienne, avec le soutien de la gauche qui, est, et doit rester, espérons-le, au pouvoir en Occitanie, ainsi que le conseil département des Pyrénées Orientales.

À noter que c’est un certain Daladier qui, en 1938, a promu une loi permettant d’enfermer dans des camps de rétention des gens sans jugement, pour se débarrasser des étrangers indésirables, d’où qu’ils viennent et quelle que soit leur origine, ce que nous a rappelé l’historien Gregori Tuba, responsable du conseil scientifique du Mémorial.

À cette occasion, la LDH, par la voix de Dominique Noguères, a réitéré son attachement à l’activité efficace et enthousiasmante de ce lieu où sont passés des dizaines de milliers d’exclus, en route pour la mort pour certains, que ce soit sur place ou envoyés dans les camps nazis.

À cette occasion aussi, notre ami Georges Bartoli a été promu Chevalier des Arts et des Lettres, distinction qu’il a acceptée, non pas pour faire plaisir à la gouvernance mais en respect de sa mère, républicaine espagnole, qui lui conseilla d’accepter les honneurs de la République Française.

Une soirée magnifique…

Un conseil, pour ceux qui peuvent. Consultez le programme du Mémorial de Rivesaltes qui organise une foule d’événements culturels et artistiques et agrège autour de lui toutes les bonnes volontés, sous la houlette de sa directrice, Céline Sala-Pons qui a décoré notre reporter et journaliste chéri, Georges, neveu du grand Josep, dont les œuvres exposées ont fait briller le Mémorial récemment.

En partage, cinq photos, dont celle de l’excellente exposition de Nicole Bergé qui a transformé en pépites de mémoire les objets enfouis sur le lieu du camp de Rivesaltes…

—> Pour plus d’infos

Yvon Huet