L’économie de guerre, quel que soit le pays, c’est la misère et la mort pour la jeunesse des peuples et la « milliardocratie » pour les profiteurs du pouvoir et des banques qui la mettent en musique… Ils continuent à se goinfrer en construisant des cliniques pour soigner les blessés et, cerise sur le gâteau, créent des fondations pour s’occuper des estropiés en bénéficiant de réductions d’impôts… Ils vont même, après, jusqu’à sponsoriser tous les films de guerre possibles en récoltant les profits juteux des productions cinématographiques…, ne serait-ce que pour donner le goût de la barbarie aux nouvelles générations qui jouent à la guerre avec les jeux vidéo…
La culture de la paix est un combat permanent. Il ne faut jamais le lâcher, même dans les pires moments de l’histoire humaine. Merci Jaurès, dont nous commémorerons l’anniversaire de son assassinat le 31 juillet prochain, il y a 111 ans (comme si c’était hier), d’avoir inspiré la force de conviction de tous les pacifistes.
Yvon Huet